Bartle publie, sur sa page LinkedIn, une série de carrousels sur la manière d’aborder les défis liés à l’excellence opérationnelle, en combinant performance à long terme, performance circulaire et performance des ressources qui constituent les organisations.
Alors que l’excellence opérationnelle est une priorité pour bon nombre d’entreprises, ses démarches restent encore peu ancrées et inégalement adoptées. La complexité des systèmes de management, l’organisation interne et l’abondance des projets connexes rendent ces initiatives particulièrement exigeantes, si bien que les entreprises les mènent souvent dans la souffrance… et peu d’entre elles les mènent au bout.
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Un projet est éphémère par définition. Il a une équipe, un début et une fin. Une culture s’ancre et dure. Elle transforme la performance en réflexe, l’excellence en seconde nature — excitante, déséquilibrante, engageante.
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L’intelligence de la pieuvre est distribuée : chaque bras possède un cerveau doté d’une parfaite connaissance des contraintes terrain. L’ensemble est extrêmement adaptable et résilient, car un bras blessé n’entame en rien la capacité des autres bras.
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Interpréter la performance comme un objectif désincarné est un piège : elle donne l’impression que l’objectif de performance s’impose à la direction, surplombe les métiers. Cette interprétation crée souvent une tension inutile entre les parties prenantes de la performance dans l’organisation.
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En temps de crise polyfactorielle, les entreprises sont, encore plus qu’avant, soumises à des efforts de performance : efficacité, pertinence et efficience reviennent en force pour contribuer aux objectifs. Comment ne pas confondre vitesse et précipitation ? Comment minimiser le risque de dégradation de la qualité ?
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| Laurie Bellaïche Associée Excellence opérationnelle |
Vianney Déal |